Vivre Gagnant avec la Médecine Nouvelle
Le moyen de Guérir le cancer
est découvert!
C'est le "nouveau Galilée"
qui l'a trouvé!
Des milliers de personnes en ont déjà profité!
En particulier, pour les esprits ouverts, ce sera la fin du fatalisme à l'égard de la maladie. Grâce à ce film d'initiation aux découvertes du Docteur Hamer, vous pourrez reconnaître que la maladie n'est pas inéluctable, qu'elle n'est pas le fruit du "hasard" mais obéit à un rigoureux processus, qu'elle est même guérissable et que le moyen assuré de guérir le cancer et les autres maladies est déjà découvert depuis le début des années quatre-vingt...
Alors, à l'heure où, de nos jours, le cancer concerne à peu près "tout le monde", ce film, contribuant fortement à faire connaître la Médecine Nouvelle, apporte un immense Espoir… Tout un chacun, en effet, parmi ses proches, parents, amis ou relations, en connaît plusieurs, père ou mère, enfants, grand-parents, frères, sœurs, cousins, cousines, oncles, tantes, amis ou amies, etc., atteints par la terrible maladie ou d'autres tout aussi invalidantes, mettant également en jeu ce que l'on appelle pudiquement "le pronostic vital".
Mais alors, demandera-t-on pertinemment, à quoi ont servi et servent, encore aujourd'hui, les milliards collectés et investis, depuis des décennies, dans la "recherche sur le cancer"? La réponse est toute simple: A rien, ou peu s'en faut! Et l'on peut tranquillement ajouter que, alors que depuis plus d'un demi-siècle, les chercheurs, s'autolimitant à exclusivement combattre les symptômes sans jamais remonter jusqu'aux véritables causes profondes, cherchent en vain un "remède" réellement efficace contre le cancer, aussi longtemps que, comme jusqu'ici, ils limiteront leurs recherches au domaine exclusivement matériel, qu'il soit physique (chirurgie, radiothérapie, etc.) ou chimique (chimiothérapies, autres médications chimiques) ils ne trouveront jamais rien de réellement décisif!
En effet, afin de devenir lucides, effectuons un petit flash-back:
Le 23 décembre 1971, Richard Nixon, alors président des Etats-Unis, à grands coups de clairon, annonçait à toute la presse que seulement cinq ans plus tard, soit en 1976, date du bicentenaire de l'indépendance, la victoire sur le cancer serait totale. Sa déclaration s'appuyait sur des affirmations non moins péremptoires de «spécialistes», persuadés que le cancer ne passerait pas l’an 2000.
Le célèbre cancérologue Sidney Farber clamait à son tour: «Nous touchons au but. Ce dont nous avons besoin, c'est de l'énergie et des crédits identiques à ceux qui ont permis d'envoyer un homme sur laLune".
En 1986, le New England Journal of Medicine publie un article de John Bailar dénonçant lastagnation de la lutte contre le cancer aux Etats-Unis, excepté chez les enfants ou les adultes jeunes. Dans ce pays, où le dépistage est bien plus répandu qu'en France et où la transparence est plus évidente, l'on estime que «la guerre contre le cancer est perdue».
En 2003, c'est le président de la France, Jacques Chirac, qui, à son tour, déclarait la "guerre au cancer".
Après l'échec états-unien, avait-on enfin compris que la piste était fausse et partait-on, désormais, sur une autre logique? Non, pas du tout, c'est la même "médecine de troupeau" qui prévaut alors et qui, depuis lors, se trouve encore là promue ("dépistages", mammographies, biopsies..). De nouveau, l'on ne s'en prend qu'aux symptômes, rien ou à peu près n'est dirigé vers la recherche des véritables causes. L'on n'a toujours pas compris que pour empêcher une bassine de déborder, avant d'en défoncer le fond pour y faire des trous et permettre l'écoulement de l'eau, il faut d'abord commencer par fermer les robinets!!!
Différence de stratégie? Eh non!
Dès février 1996, le journal "La Recherche", titrant «Le cancer résiste à la science», constatait déjà que les progrès des techniques de détection, de chirurgie, de radiothérapie et des médicaments, qui contrastent avec l'absence de révolution thérapeutique, n'ont pas abouti à faire globalement régresser ce fléau:
Mais qu'en est-il de l'évolution globale de la maladie dans la population?
leucémie | |
lymphomes | |
cerveau | |
glandes endocrines | |
tissous mous | |
foie et voies biliaires |
Certains poseront alors la question: Si l'on meurt davantage du cancer, peut-être en guérit-on aussi davantage?
Pour répondre à cette question, considérons ce que disent, en France, quant aux guérisons obtenues par les voies "classiques", des cancérologues non inféodés aux laboratoires pharmaceutiques?
«Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu'on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires. Et pour cause: ils en vivent. Si j'avais une tumeur, je n'irais pas dans un centre anti-cancéreux.» - Pofesseur G. Mathé, "L’Express" - 4/10/85. -
«Ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui trop souvent occultée: 85% des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles.» - Professeur Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier -
«L'impuissance de la chirurgie à guérir le cancer est illustrée par un fait frappant: 20% des opérés meurent d'une récidive locale, 80% meurent de "métastases" à distance.» - Professeur Lucien Israël dans «Le cancer, aujourd'hui» -
«La chirurgie n'est valable que lorsque la tumeur provoque des hémorragies qui épuisent le malade ou lorsqu'elle comprime dangereusement un organe. Autrement, elle est inutile.» - Dr Pierre Solignac, médecin psycho-somaticien, hôpital Saint-Michel -
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Pour plusieurs cancérologues, la chimiothérapie n'est qu'un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Les seuls cas de réelle guérison sont des cas deguérison spontanée, c'est-à-dire lorsque le malade peut organiser ses propres défenses
À sujet, de manière fort directe et fort lucide, Michel Dogna, célèbre thérapeute, lors de ses stages, déclare:
«Il faut arrêter avec l’assistanat.»
Et, en particulier,
«un assistanat qu’il faut tout de suite arrêter: la médecine!»
Il ajoute:
«On fait tout pour que vous ayez un cancer.»
«Chaque cancéreux accomplit son "devoir civique" en rapportant 1 milliard de nouveaux francs aux labos. Après seulement, il a le "droit" de mourir.»
"Le taux - indiqué par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) - de survie après une chimiothérapieest de seulement de 2% de survie après 5 ans".
"C’est juste une rémission sur le coup, pour «mieux sauter» après. C’est terrible."
"La chimio est notamment faite à partir de gaz moutarde utilisé pendant la guerre 14-18."
"Il faut savoir dire NON à cela."
«Malheur à celui qui ne sait pas dire NON!»
Un patient ayant subi une radiothérapie déclare: «Avec cela l’on met le feu dans le corps!». Certes l’on bombarde les «cellules malades», mais les saines, par la même circonstance, se trouvent aussi atteintes.
Alors, si le malade, plutôt que de se remettre en cause, veut continuer à croire, avec l’idéologie dominante, qu’il n’y est pour rien dans sa maladie, qu'il est juste en proie à une aveugle fatalité, qu'il ne peut rien faire lui-même pour sa propre guérison, et persiste à se soumettre à de telles destructrices «thérapies», c’est son choix., un choix qui, à l'inverse du point de vue commun, peut lui coûter sa vie.
Alors, se pourrait-il qu'au sujet du cancer comme au sujet de beaucoup d'autres choses l'on vous ait menti?
Se pourrait-il que l'on vous ait dissimulé, depuis déjà un quart de siècle, que le moyen de guérir non seulement le cancer mais aussi pratiquement toutes les autres maladies a déjà été découvert et que cette découverte n'est pas le fruit d'une ruineuse "recherche" fonctionnant à coup de milliards mais celui d'un homme seul ayant découvert, preuves à l'appui, par inspiration et comme fruit d'une douloureuse expérience vécue, que, sans nier l'influence des facteurs environnementaux, la causefondamentale du cancer et des autres maladies est psychique?
Réponse dans l'interpellant et courageux film du thérapeute québécois Jean-Jacques Crèvecœur: